Certificato universitario: “Questa riforma crea condizioni scolastiche più accessibili per gli studenti delle classi avvantaggiate”

https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/12/02/brevet-des-colleges-cette-reforme-cree-des-conditions-de-scolarisation-plus-accessibles-aux-eleves-des-classes-favorisees_6424446_3232.html

di kanasuc

6 Comments

  1. BuddyDesigner3502 on

    “Si, aujourd’hui, plus de 120 000 élèves (soit 15 %) ne valident pas le brevet, il est fort probable que ces mesures entraîneront une augmentation du nombre d’élèves recalés qui ne pourront pas de ce fait accéder à une 2de générale, technologique ou professionnelle.”

    Autrement dit « Cette réforme crée des conditions de déscolarisation plus accessibles aux élèves des classes défavorisées »

  2. Volesprit31 on

    Je suis pas d’accord avec l’article, mais ils nous manque plusieurs données : quels sont les choix d’orientation des élèves qui n’ont pas le brevet ces dernières années et quels sont les résultats au lycée des élèves qui n’ont pas eu le brevet ?

    Dans le cas d’un élève qui a des vraies lacunes, je comprends pas l’intérêt de lui laisser une voie qui va le pousser à l’échec. Et dans le cas d’un accroc dans un parcours classique, redoubler ou aller en prépa seconde ne me semble absolument pas rédhibitoire. Devoir rattraper du retard, c’est long, c’est lourd, ça demande de pas décrocher.

  3. papimougeot on

    Une précision importante : il s’agit d’une tribune, pas d’un article.

    >[Le lycée pro] devient un dispositif chargé du maintien de la scolarité obligatoire.

    Vu que l’instruction est obligatoire jusqu’à 16 ans, on parle donc de la seule seconde. Un élève en échec scolaire a-t-il plus de chances de de continuer ses études (non-obligatoires) après la seconde générale ou en essayant une nouvelle filière (ici pro)? Vous avez quatre heures.

  4. OuiouiRomain on

    >Sous le couvert de « tirer les élèves vers l’excellence », le « choc des savoirs » acte II constitue une contre-réforme qui porte atteinte au collège unique tout en accentuant la sélection à l’entrée du lycée.

    Pas foncièrement contre le propos de l’article mais dans une logique similaire qui considère que tout le monde devrait accéder à l’enseignement supérieur, on a poussé des millions d’élèves sur les bancs des facs. Élèves qui souvent se rendent compte du gap entre leur niveau et le niveau requis à l’université avec une durée de vie comprise entre un et quatre semestres, ils se découragent, décrochent et abandonnent.

    Et c’est la résultante d’une logique qui dicte de toujours pousser l’élève vers le niveau supérieur en dépit de son niveau réel et du mur qu’il va se prendre sur le nez. Avec des parcours plus souples, variés et valorisés, nous n’aurions pas une telle marche absurde vers l’échec.

  5. Sidus_Preclarum on

    Oh bah pour une fois qu’une réforme atteint ses objectifs.

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