“Ironia della storia”: la sinistra esulta nel vedere Michel Barnier in difficoltà nella formazione del suo governo

https://www.francetvinfo.fr/politique/gouvernement-de-michel-barnier/ironie-de-l-histoire-la-gauche-jubile-a-voir-michel-barnier-en-difficulte-pour-former-son-gouvernement_6788503.html

di Gymzid

7 Comments

  1. Celerysticks00 on

    C’est dramatique car si même la droite échoue, la gauche aurait aussi fini dans cette situation.

    Mais j’ai bien peur qu’on se tape l’extrême droite plus tôt que prévu. Donc je ne trouve pas ça jubilatoire et je vois pas ce que la gauche gagnera si ça échoue. Quelqu’un pour me rassurer?

  2. Caramel_Mou on

    La 5è est ainsi faite que quand l’homme supposément fort à la présidence est faible et bien ça s’enraye, Macron ne tient plus ses députés et son parti car il a merdé en dissolvant et le combat des deux prochaines années est de savoir qui récupèrera le parti et l’investiture pour 2027.

  3. lepetitnuco on

    Rien de jubilatoire car pour rappel l’assemblée (si on compte macron dedans) est a 2/3 à droite, si meme ça c’est pas suffisant pour former un gouvernement va falloir faire d’énorme concessions pour éviter l’ED

  4. bdunogier on

    Mouais, le titre n’est pas choisi par hasard non plus… la moitié de ceux cités jubilent ou sont narquois, les autres sont inquiets pour le pays. Mais j’imagine que c’est plus vendeur de faire passer l’ensemble de la gauche pour des gens puérils et du coup non républicains hein.

  5. La gauche “jubile” rien du tout.
    Ils ont enterré la neutralité à quelle profondeur chez franceinfo ?

  6. Ils sont loin de jubiler, plutôt à déplorer la crise démocratique de notre pays.

    « Deux semaines après sa nomination à Matignon, Michel Barnier n’arrive toujours pas à former son gouvernement. La tension monte entre le Premier ministre LR et les macronistes. Ils exigent une « clarification » de sa ligne politique. Ils sont très remontés après que Michel Barnier a évoqué – auprès de plusieurs interlocuteurs – des hausses d’impôts pour les « très hauts revenus ». L’intéressé répond que la « situation budgétaire très grave » de la France mérite « mieux que des petites phrases ». Tout cela, sous le regard de la gauche.

    « C’est une ligne rouge » : en évoquant une hausse d’impôts, Michel Barnier fait frémir une partie de la classe politique
    Un cadre du Parti communiste l’avoue : il observe cette situation « avec une certaine délectation ». Emmanuel Macron a exclu un gouvernement Nouveau Front populaire au prétexte qu’il serait censuré et voilà que son Premier ministre Michel Barnier se retrouve en difficulté pour construire une majorité. « Ironie de l’histoire », s’amuse un député écologiste qui se souvient des piques contre la coalition de gauche : « On disait que c’était le mariage de la carpe et du lapin mais là, pour les divisions, on est servis avec cette alliance des droites bricolée ! »

    Une de ses camarades au sein du parti acte déjà que « la recherche de stabilité a échoué ». Mais sans se réjouir : « La défiance envers la politique est déjà très élevée, on tend le bâton pour se faire battre. » Un cadre communiste s’inquiète aussi : « Il ne va rien sortir de bon de tout ça. »
    Ce qui n’empêche pas la gauche de penser que ce sera bon pour ses affaires. Une proche de Jean-Luc Mélenchon estime que le Premier ministre est dans une impasse. « C’est le bordel dans la macronie, le bordel chez les LR. Ils sont dans une merde noire », note-t-elle. Mais pour l’instant, le NFP observe le bras de fer entre Michel Barnier et les macronistes. « Les cartes de toute façon ne sont pas dans nos mains », admet un ténor communiste. Reste qu’à ce stade, « on ne sait pas quand il y aura un gouvernement, ni même s’il y aura un gouvernement », résume un député socialiste.
    « Et si le Premier ministre démissionnait avant la formation d’un gouvernement ? », se demande sa collègue écologiste qui se dit que de toute façon, même s’il arrivait à constituer une équipe, « ça ne tiendra pas, on voit que cette alliance est trop fragile. » Elle se prépare à un retour à la case départ, c’est-à-dire un poste à pourvoir à Matignon. « Je ne sais pas si ce sera pour la gauche mais contrairement à eux on est prêts », fanfaronne un cadre du parti communiste. »

  7. bratisla_boy on

    J’avoue que le terme “jubiler” commence par me sortir par les trous de nez – surtout que dans le corps du texte on a plusieurs paragraphes sur les inquiétudes de plusieurs cadres de la gauche, mais ça ne ressort pas sur le titre. Limite j’ai plus l’impression que c’est le journaliste politique/éditorialiste qui jubile à l’idée de faire du papier facile …

    Le seul fait qui sauve pour le moment les journalistes du goudron est qu’ils ont titré aussi à plusieurs reprises “le RN jubile” dans les temps précédents. Pas trouvé par contre “Renaissance jubile”, j’ai mal cherché ?

    (oui je n’ai bu qu’un café et je suis soupe au lait ce matin)

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